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    Tsugumi

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    Nom : Inconnu, elle ne se souvient plus qui elle est, et j'crois qu'elle s'en tape royalement.

    Prénom : Inconnu, on la surnomme "Tsugumi" mais elle ne sait plus qui elle est, et j'crois qu'elle s'en fout aussi. On peut la siffler pour la pâtée, ça marche aussi. Tsugumi signifie muguet, si on la surnomme comme ça, c'est parce qu'elle a de jolies plantes qui poussent en elle.

    Âge : Environ 14/15 ans

    Sexe : ♀ Fille (on est d'accord qu'elle n'a plus du tout de sexe)

    Race : Kawaii Zombi Eclatax

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    Caractère : Inhumaine, aucune conscience du bien ou du mal, de toute façon elle ne parle pas ou très peu et ce en petit comité uniquement. Le reste du temps, elle grince et grogne, à la limite elle peut aussi hurler et pousser quelques airs de chansonnette. Elle a l'air kawaii et stratège, ou complètement lâche, tout dépend de la façon de voir les choses. Parfois dans la nuit lorsque plus rien ne bouge autour d'elle, elle se hisse et vient s'emparer de la moindre proie endormie pour la dévorer savoureusement. 

    Aime : Elle aime se glisser dans l'herbe et la terre, manger et jouer avec ses cheveux. Elle est assez goinfre : elle aime le sang et n'en laisse aucune goutte, à part si c'est déjà sec sur elle. Elle a l'air de bien aimer la musique, elle se laisse parfois attendrir par les douces notes de piano dont elle joue encore par nostalgie. Elle paraît être une otaku qui aimait lire les manga kawaii. Elle aime les sucreries !

    Déteste : Être attachée et bâillonnée, en camisole de force, ou avec toute autre façon de l'attacher. Elle se débattra et s'énervera d'impatience, jusqu'à être libre. Elle grogne et hurle quand elle n'arrive pas à faire ce qu'elle veut. Elle déteste le froid qui fragilise et endolorit ses ossements nus.

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    • La Mort se fout ouvertement de notre gueule. Ce fut une gentille puce de base même si elle ne se souvient pas de quoique ce soit à propos d'elle : elle qui était banale, qui menait sa vie comme elle l'entendait comme toute gamine de son âge, et qui n'avait rien demandé à personne.

    Mais elle a fini par mourir un jour sans savoir où, quand, ni comment. Elle est revenue à la vie ou presque et totalement amnésique ! Elle ne se pose pas la moindre question pour autant, j'pense qu'elle s'en fout de se souvenir de ce qu'elle était. Et tout comme un robot bugué qui foncerait dans un mur durant des heures en marchant bizarrement, elle errait sans ambition, ni objectif. Ce qu'elle voulait : c'était du sang, de la chaire. Et son instinct de se nourrir primait sur le reste, la déshumanisant totalement. Puis de la même façon qu'elle bougeait sans âme ni conscience, elle fut agressée de toute part par des inconnus en mal de tuer des zombis. Ce fut un équilibre étrange, car à la fois mérité et totalement gratuit puisqu'elle n'était plus si innocente et elle avait, auparavant attaqué pour se nourrir. Mais elle n'avait rien fait pour mériter une chose aussi immonde, au moment des faits : Après cette violente rencontre, la petiote zombifiée a fini par s'étaler dans la mauvaise herbe vivace et robuste. Abandonnée là à son triste sort et coupée en deux, elle se vidait de tout ce qui la composait... sans même broncher. Elle acceptait juste son sort pendant que le temps et la nature la rongeaient à petit feu, ainsi que les animaux de la faune environnante.

    Le problème avec les zombis, c'est que vous avez beau les démembrer, ils bougent toujours ! Et celle-là quoiqu'il arrive, qu'elle le veuille ou non, elle est plutôt robuste. Elle est d'ailleurs assez rapide quand elle est motivée par la nourriture ou bien la fuite. Ah toutefois, contrairement à sa partie supérieure, la partie inférieure à partir du dessous de sa poitrine, a totalement disparu et ne bougera probablement plus jamais. Plus rien n'est rattaché à sa colonne vertébrale, tant mieux, ça la dérangeait quelque peu. Il lui est souvent arrivé de traîner près des pâtures à vache et de se faire piéger par les barbelés. Il ne lui reste plus que sa tête, ses cheveux, ses yeux, ses bras et une poitrine qui s'est vidée de ce qu'elle possédait, laissant ainsi la nature reprendre ses droits et grandir en elle. Ce petit monstre en communion avec la flore, continue néanmoins d'être, de se mouvoir et de se nourrir comme elle peut. Elle n'a pas l'air de se rendre compte de ne plus avoir de système digestif, c'est bizarre. Toutefois, elle possède aussi quelques décorations environnantes sur elle. Elle se hisse parfois dans la nuit lorsque plus rien ne bouge autour d'elle, et elle vient s'emparer de la moindre proie endormie pour la dévorer. Cette petite a donc repris peu à peu conscience et une forme d'intelligence dira-t-on très primaire, néanmoins évolutive et réactive.

    Mais si on sait tout cela d'elle, ce qu'on ne sait pas, c'est que les poupées vivant chez Akira, l'ont trouvé allongée dans un tas de sacs poubelles et l'ont quelque peu adopté, ainsi qu'apprivoisé comme on éduque un chien. Elle ne parle que très peu et à très peu de monde, parfois elle a encore quelques soupçons d'humanité dans sa façon d'interagir mais ça semble comme résiduel et automatique. Elle semble la plupart du temps être totalement déconnectée de la réalité et désocialisée, ainsi que déshumanisée. Pourtant parfois elle a un caractère semblable à celui d'une yandere et d'une tsundere mélangés, peut-être des bribes de ses mangas préférés qui sont restés incrustés dans sa façon d'être. La majesté des Dryades, Seraphina a eu quelque peu pitié d'elle au début, mais l'observant comme on contemple un parterre de fleurs, elle a plutôt gagné en affection envers Tsugumi, elle la tolère et ne la juge pas pour ce qu'elle a pu faire ou quoique ce soit. D'ailleurs Seraphina semble préférer milles fois plus Tsugumi et Yasu plutôt que ce qu'est devenue l'humanité. Yasu a également quelques rapports affectueux avec Tsugumi. La zombie semble donc bien intégrée sans avoir à fournir le moindre effort.

    D'ailleurs il semble que cette chose -qui dormait insouciamment il y a quelques temps dans les poubelles- ait un piano. Il est aussi déglingué qu'elle et autant recouvert par la nature, mais par on ne sait quel miracle, il en sort encore des notes de musique correctes. Tsugumi semble fortement aimer ce piano... au point de parfois jouer sans s'arrêter durant des jours et des nuits entières, jusqu'à s'en faire saigner des doigts. Elle qui se les abîmait déjà en glissant toujours à même le sol, ne semble plus ressentir la moindre douleur que ce soit physique, psychique ou sentimentale. Seule la musique parviendrait à l'émouvoir jusqu'aux larmes, aujourd'hui.